Étretat, la Normandie, le paradis à 2h de Paris.





Alors que je m’apprête à  faire des infidélités à Paris avec New-York pour an, je suis entrée dans l’ère des "dernières fois" (avant d’attaquer celle, moins mélancolique, des excitantes "first times" ). 

Dernière heure de cours à la fac, dernier jour de stage, dernier carton de déménagement à porter (pas trop nostalgique pour le coup, c’est bizarre).  Et surtout, derniers moments avec les copains parisiens, ceux qui m’entourent depuis 2 ans.

Et le weekend dernier, c’était le tout du dernier weekend avec la colloc’. Madame part à Moscou, autant vous dire que ça fait une trotte, depuis New-York.  Je vous en ai déjà parlé, c’est une dénicheuse de bonnes adresses née.


Pour marquer le coup de cette (très) belle rencontre, on avait décidé de s’exiler un peu de la capitale. Il fallait que ce ne soit pas trop loin quand même (stages obligent), et j’avais envie d’aller voir la mer. On s’est donc décidées pour la Normandie, et hop, direction Étretat.

Honnêtement, les images parleront forcément mieux que moi. Alors je les laisse parler un peu, sans leur couper la parole, toussa.  ;-)




Des falaises à couper le souffle, la mer à perte de vue. C'est l'occasion de faire de loooongues ballades, pour avoir le temps de se raconter nos vies, de refaire le monde, et de rêver à haute voix.

L'occasion de se marrer aussi, de se faire méchamment snober par un âne (mon ego ne s'en est pas encore remis...), de commencer une LV3 Goéland.


On en a profité pour faire une sieste sur la plage, avec le bruit des vagues en fond sonore, et le soleil sur le nez (qui a un tout petit peu cramé). 

A Étretat, on s'est pliées (sans difficulté!) à la gastronomie locale dans une super crêperie conseillée par des habitants: Lann Bihoue



Si comme nous, vous n'êtes pas équipé d'une voiture, vous passerez forcément au Havre, parce qu'Étretat et la SNCF ne sont pas bien potes. 
J'avais des a priori plutôt négatifs de cette ville, mais on a quand même déniché un petit coin de paradis, à ne pas manquer si vous êtes dans les environs : les jardins suspendus.
Si je n'avais pas peur de mes mauvais jeux de mots habituels, je dirais même un havre de paix


On a fini le weekend là-bas, à faire la sieste dans une roseraie avec plus de 250 espèces de roses différentes en dégustant des sorbets violette / framboises cultivées sur place.



Mais , what else, quoi !












3 commentaires :

  1. Magnifique endroit, j'ai eu la chance d'y aller en vacance plus jeune avec mes parents et j'en garderait toujours un super souvenir, jusqu'à ce que j'y retourne :) Je ne malheureusement pas vu les jardins suspendus, donc se sera pour une prochaine fois !

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  2. Note l'idée dans un coin de ta tête, car c'est un peu caché, mais ça vaut définitivement le coup! ;-)

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  3. Les photos sont magnifiques *_*

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